Laure Ferrari, tête de liste aux élections européennes, sera en Saône-et-Loire le lundi 5 mai. Elle se rendra notamment à la rencontre des citoyens à Louhans, à Mâcon et à Montceau-les-Mines. Elle présentera la liste « Debout la France », ni système, ni extrêmes » qu’elle conduit pour la circonscription Est.

Biographie de la candidat

« Laure Ferrari est née le 6 octobre 1979 à Épinal, d’une mère et d’un père Meurthe-et-Mosellans. Issue d’une famille d’artisans, elle acquiert au côté de ses parents un vrai sens du contact et de la communication. Passionnée par les voyages et les langues étrangères, elle s’attache rapidement à découvrir la richesse de la diversité européenne.

En 2005, à la suite du référendum sur la constitution européenne, elle est particulièrement choquée par le déni de démocratie de la classe politique française et cherche à faire part de sa stupéfaction auprès de différents élus.

Consciente de ne pouvoir être entendue sans une maîtrise totale de la constitution et des principaux dossiers européens, elle étudie ceux-ci avec précision.

En 2007 à Strasbourg, à la faveur d’une session parlementaire, Laure Ferrari va frapper à la porte du député Européen Nigel Farage, chef du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni, auprès de qui elle trouve une oreille attentive. Séduit par sa connaissance et sa maîtrise des dossiers, Nigel Farage l’engage en tant qu’assistante parlementaire en charge des questions environnementales.

Au sein du Parlement, Laure Ferrari prend rapidement conscience de l’opportunité que représente le rassemblement des forces euro-lucides à travers l’Europe. Aussi propose-t-elle à Nigel Farage de s’occuper des relations publiques du Groupe Europe libertés démocratie (ELD) qu’il vient de créer et qu’il copréside.

C’est ainsi qu’elle rencontre Nicolas Dupont-Aignan dont elle admire l’engagement et le courage. Convaincue de la sincérité du message porté par le mouvement Debout La République, elle décide de s’engager, tout d’abord en tant que secrétaire départementale du Bas-Rhin, puis tout naturellement en tant que déléguée aux affaires européennes au sein du Bureau national.

Ces sept années passées au sein des institutions européennes la poussent à vouloir dénoncer les nombreux conflits d’intérêts qu’elle a pu y découvrir.

En 2013 elle s’assure du soutien de plusieurs parlementaires européens, dont Nigel Farage (UKIP) et Timo Soini (PERUS-Finlande), et soumet sa candidature comme tête de liste aux élections Européennes pour la circonscription Est. »