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jeudi 27 septembre 2012 à 16:50

Miss Bourgogne 2012

Qui sont les treize prétendantes ? Portraits et photos…



 

Qui succèdera à Élodie Paillardin ?

Les treize candidates…

 

Ce samedi 29 septembre, la salle de l’Éduen à Autun accueillera l’élection de Miss Bourgogne 2012. Treize jeunes filles, venues des quatre départements, sont en lice et défileront devant 1 200 personnes.

La gagnante représentera la région le 8 décembre prochain à Limoges après une dizaine de jours passés à l’Île Maurice en compagnie des trente-deux autres représentantes régionales.

En attendant, faisons connaissance avec les candidates, toutes aussi ravissantes les unes que les autres !

 

 

 

 

Marie Reintz (Bligny-lès-Beaune, Côte-d’Or), Virginie Dousse (Varenne-le-Grand, Saône-et-Loire), Margaux Couette (Dijon, Côte-d’Or), Donia Lagha (Venaray-les-Laumes, Côte-d’Or), Ornella Adeagbo (Villeneuve-la-Guyarde, Yonne),

Kelly Cescutti (Dijon, Côte-d’Or), Samantha Polycarpe (Blanzy, Saône-et-Loire), Sandra Salazar (Cosne-sur-Loire, Nièvre), Marine Lorphelin (Charnay-lès-Mâcon), Saône-et-Loire), Cindy Charlot (Cordesse, Saône-et-Loire), Marine Mazilly

(Liernais, Côte-d’Or), Amandine Avignon (Garchizy, Nièvre)

et Aurore Bonnet (Magny-cours, Nièvre).

 

 

 

L’une d’entre elles succèdera à Élodie Paillardin, Miss Bourgogne 2011

 

 

 

 

 

 

 

Les candidates de le Nièvre

 

 

 

 

 

Amandine Avignon (Garchizy, Nièvre), Sandra Salazar (Cosne-sur-Loire, Nièvre) et Aurore Bonnet (Magny-cours, Nièvre).

 

 

Amandine Avignon a 21 ans. Les Miss, pour elle comme pour beaucoup d’autres, c’est un rêve de petite fille. « On attend forcément son tour un jour ou l’autre ». Et cette année, c’est la bonne ! Après une première tentative au concours de Miss Bourgogne, la jeune fille (1,74 m) fait cette fois partie des finalistes. « Une chance ! D’abord parce que c’est très valorisant et puis parce que cette aventure nous permet de faire connaissance avec d’autres jeunes filles. » Résultat : Amandine avoue avoir pris confiance en elle et s’être fait des amies. « Il n’y a pas de concurrence, je ne le sens pas comme ça ! En tout cas, en ce qui me concerne, j’ai décidé de vivre pleinement cette aventure. »

Et si elle n’est pas élue, le jeune fille de Garchizy, qui vient de terminer une année d’études d’aide-soignante, aimerait s’orienter vers la psychiatrie.

 

 

Sandra Salazar a 18 ans. Elle vient de rentrer en première année d’école d’infirmière à Nevers. Native de Cosne-sur-Loire, elle a souvent été confrontée au milieu médical. « Un beau milieu qui a quelque chose de magique » dans lequel elle souhaite aujourd’hui poursuivre sa vie.

À travers cette élection, qui lui a déjà apporté beaucoup de choses – « des rencontres magnifiques, la découverte d’un autre univers, des contacts pour l’avenir on ne sait jamais… », Sandra veut avant tout être la porte parole de l’association des sclérodermiques de France. Une maladie auto-immune caractérisée par une sclérose progressive du derme et parfois des viscères. La jeune fille souffre de cette maladie génétique rare qui se caractérise chez elle par une haute sensibilité au froid et veut profiter cette élection pour en parler : « C’est une opportunité pour faire connaître cette maladie très peu connue en France. » Et avec la Miss Nièvre 2012, difficile d’avoir meilleure porte-parole…

 

 

Aurore Bonnet a 19 ans. Elle vient de décrocher son bac et entame une première année de BTS SP3S. Son objectif : passer les concours d’assistante sociale ou travailler dans le domaine médical dans un service cancérologie. Le concours de Miss Bourgogne, la jeune Neversoise d’origine le voit un peu comme un challenge. Arrivée là grâce à une amie du lycée « qui m’a parlé de l’élection de Miss Nièvre, je me suis inscrite et j’ai terminée dauphine, avant que le comité me rappelle pour l’élection de Miss Bourgogne ».

Cette première expérience nivernaise lui a permis d’apprendre à marcher, de prendre confiance en elle et de faire ses premières armes avant la grande soirée de samedi. Mais cela a aussi été l’occasion de rencontrer pas mal de personnes et de mettre les pieds dans un monde qui l’intéresse de plus en plus. « D’ailleurs, tout en continuant mes études, j’aimerais poursuivre les expériences dans la mode par la suite, avec des petits boulots. » Si elle n’est pas élue bien sûr…

 

 

Les candidates de Saône-et-Loire

 

 

 

 

 

Virginie Dousse (Varenne-le-Grand, Saône-et-Loire), Cindy Charlot

(Cordesse, Saône-et-Loire), Marine Lorphelin (Charnay-lès-Mâcon)

et Samantha Polycarpe (Blanzy, Saône-et-Loire)

 

 

Virginie Dousse a 22 ans. La jeune femme qui habite Varenne-le-Grand est étudiante en bachelor marketing et communication à Lyon. Son objectif : devenir responsable marketing dans le domaine cosmétique ou de la mode. Un monde  qu’elle n’a pas beaucoup côtoyé puisque son truc c’est plutôt les voyages, la musique (piano), le sport (gym, danse…), mais ce monde la fascine. Autant que « celle qui incarne l’élégance à ses yeux, celle qui a fait évoluer le mode » : Coco Chanel.

Ce concours de Miss Bourgogne lui a donc permis de mettre les pieds dans cet univers : « J’ai eu l’opportunité de faire de belles rencontres, de porter de belles tenues de créateurs aussi. C’est quelque chose qui n’arrive pas tous les jours ». Virginie a aussi eu l’occasion de découvrir une région qu’elle ne connaît pas encore très bien. Elle était encore en Savoie il y a quelques mois. « J’ai déjà beaucoup voyagé, c’est vrai, mais je suis toujours aussi avide de découverte et d’expériences nouvelles. » La prochaine ? Porter la couronne peut-être…

 

 

Cindy Charlot a 18 ans. C’est la locale de l’étape puisqu’elle habite Cordesse, à côté d’Autun. Elle suit actuellement des cours par correspondance, une classe préparatoire pour intégrer une école d’infirmière l’année prochaine. Mais elle se verrait bien aussi dans le mannequinat. « C’est une deuxième porte que peut m’ouvrir ce concours », explique cette jeune fille blonde aux yeux bleus, souriante, mais discrète. « J’ai quand même davantage confiance en moi aujourd’hui, relève-t-elle toutefois. Avant de participer à l’élection, j’avais beaucoup de mal à m’ouvrir, à parler en public par exemple. Je suis désormais moins timide, mais toujours aussi sensible. »

Finalement, ses parents ont eu raison de l’encourager à se présenter. « Je m’étais toujours interrogée, sans jamais franchir le pas… » Finalement, elle, qui rêvait chaque année en regardant l’élection de Miss France à la télévision, peut aujourd’hui défiler en talons hauts et « robes de princesse« . Avec la couronne, ce serait encore mieux !

 

 

Marine Lorphelin a 19 ans. Depuis quelques mois, elle vit un véritable rêve éveillé. Élue Miss Saône-et-Loire en juin dernier, la Charnaysienne n’a pas tardé à connaître ses premiers bains de foule. « Star » au milieu des stars lors du Tour de France, sur les podiums, au village départ ou sur la ligne, elle garde aujourd’hui des souvenirs magnifiques de ces deux jours dans la cité lamartinienne. « C’est incroyable, je croise aujourd’hui des personnes qui me reconnaissent et grâce à cette élection, je fais aussi pas mal de prestations les week-ends. »

Les défilés, elle connaissait déjà avant de participer au concours. Elle avait en effet eu l’occasion de porter et de présenter les créations du Mâconnais Laurent Crépeau. C’est là d’ailleurs que le comité l’avait démarchée. « Et je me suis dit pourquoi pas, ça sera l’occasion de faire des choses intéressantes, de porter des belles robes et de passer des journées où plein de gens s’occupent de moi ! Mais, attention, être Miss, ce n’est pas un rêve de petite fille ! » Son avenir, elle le voit plutôt dans la pédiatrie. Elle vient d’ailleurs de passer en deuxième année de médecine à l’université de Lyon.

Mais Marine ne boude pas pour autant son plaisir de vivre cette expérience qui lui a déjà beaucoup appris. Et si elle gagne ? « Ce serait le top et j’essaierais de conjuguer au mieux mes études et cette année de Miss. »

 

 

Samantha Polycarpe a 19 ans. Avec ses 1,70 m et sa taille 38, c’est une jeune fille comme les autres, une « jeune fille normale ». C’est en tout cas, avec ces mots, qu’elle se présente, le sourire aux lèvres. Après quelques années dans le Pas-de-Calais, Samantha Polycarpe s’est installée avec sa famille à Blanzy voilà quatre ans. C’est d’ailleurs dans le bassin minier que la belle aventure a commencé pour la jeune fille : « Quand je suis entrée dans son magasin, monsieur Marinelli, m’a demandé si je voulais me présenter. J’ai accepté tout de suite sa proposition. »

Et depuis, elle vit cette aventure à 100 %, avec un groupe de copines. La Blanzynoise, qui vient d’entamer un BTS en alternance dans le domaine de la banque, avoue qu’une belle complicité est née dans ce groupe. Quant à elle, elle entend profiter pleinement de l’aventure : « Le plus important est de s’amuser, mais ce que je veux par dessus tout, quel que soit le résultat de ce samedi, c’est garder les pieds sur terre ! »

 

 

 

Les candidates de Côte-d’Or

 

 

 

 

 

Marie Reintz (Bligny-lès-Beaune, Côte-d’Or), Margaux Couette (Dijon, Côte-d’Or),

Kelly Cescutti (Dijon, Côte-d’Or), Donia Lagha (Venaray-les-Laumes, Côte-d’Or)

et Marine Mazilly (Liernais, Côte-d’Or)

 

 

Marie Reintz vient de fêter ses 21 ans. Elle a participé à l’élection de Miss Côte poussée par ses amis, mais très vite elle s’est prise au jeu. Son titre de Miss Côte d’Or lui a en effet fait découvrir un monde qu’elle ne connaissait pas. Les Miss, la mode, elle ne s’y est jamais trop intéressé auparavant et ne pensait pas y mettre les pieds. Alors aujourd’hui, elle en profite.

Souriante et avenante, elle a ainsi eu le plaisir de réaliser certaines prestations, de partir à la rencontre de personnes âgées dans les maisons de retraite et les hôpitaux par exemple… « J’apprends beaucoup de choses, confie-t-elle. Ce genre d’élection fait grandir et ouvre des portes. J’ai, par exemple, pris davantage confiance en moi. Mais ce que je retiens, c’est que c’est une expérience humaine très enrichissante. »

Le reste du temps, Marie (1,79 m) troque les talons et les robes de soirée contre les baskets et le survêtement. Éducatrice sportive depuis deux mois maintenant à Beaune, elle est professeur de fitness dans une salle de remise en forme.

 

 

Margaux Couette a 21 ans. La jeune femme, originaire de Tart-le-haut, suit des études d’assistante sociale à Dijon. Elle aimerait travailler dans le secteur de la petite enfance ou dans un centre social. Les échanges, le relationnel, le contact avec le public, c’est tout ce qu’elle aime. Et c’est aussi tout ce qu’elle a retrouvé ces dernières semaines aux côtés des douze autres demoiselles et des nombreuses personnes rencontrées sur les défilés, les salons ou les répétitions.

Cette élection, c’est aussi pour Margaux l’occasion de faire passer un message, d’accorder une certaine place aux causes qu’elle défend : « Je veux m’engager dans le caritatif, mais ce serait mentir que de ne pas dire que je souhaite aussi représenter ma région. J’ai eu la chance de participer à l’élection de Miss Côte-d’Or et humainement, j’ai déjà beaucoup appris. Le public est si généreux et gentil qu’il nous apporte beaucoup. Ça fait du bien d’exister et de se savoir soutenue ! »

 

 

Kelly Cescutti est la plus jeune de ce concours. Du haut de ses 18 ans et de ses 1,75 m, la jeune fille est originaire de Dijon où elle prépare cette année un Bac ES. Son rêve : faire médecine. Mais avant cela c’est un autre rêve qu’elle a choisi de vivre pleinement. Poussé par ces parents, Kelly a envie de représenter au mieux et au plus haut « la beauté de la région bourguignonne ». « Mais attention, avance-t-elle. Être miss, ce n’est pas qu’une question d’apparence, ni de physique, il faut aussi avoir une certaine responsabilité et de l’élégance ». Et de la personnalité, elle n’en manque pas, d’humour non plus.

Et que dire de sa ressemblance troublante avec la directrice générale du comité Miss France et ancienne Miss, Sylvie Tellier. « C’est vrai qu’on me l’a souvent dit ! » Et ça tombe plutôt bien puisqu’elle l’admire beaucoup : « Je la trouve vraiment magnifique. » Samedi à Autun, la jeune Dijonnaise rêve de marcher dans ses pas pour poursuivre cette « expérience magnifique, continuer à rencontrer des gens intéressants, et côtoyer ce monde glamour et de la mode que j’adore ! »

 

 

Donia Lagha a 23 ans. C’est l’aînée de ce concours. Certainement la plus bavarde aussi. Mais la Côte-d’Orienne a beaucoup de choses à dire et sait ce qu’elle veut. La jeune fille, originaire de Venarey-les-Laumes, vient de décrocher une licence de communication et relations publiques. Son objectif maintenant : continuer dans le commerce international pour intégrer une grande entreprise internationale.

Et les miss dans tout cela ? « J’avais envie de tenter l’élection cette année, motivée par ma grand-mère. J’y ai vu une bonne opportunité de montrer qu’on pouvait être jolie et avoir quelque chose dans la tête ! »  Et Donia prend son rôle très à cœur : « J’ai envie de donner un nouveau souffle et de représenter ma région. Ce concours, ce n’est pas un rêve de petite fille, mais bien un souhait de jeune femme. »

Si en plus, cela pouvait lui servir de tremplin professionnel, elle ne dirait pas non. Pour l’heure, elle reconnaît que cette expérience a déjà été très enrichissante professionnellement et humainement. « J’ai fait de belles rencontres et chaque jour, je découvre un peu plus notre belle région de Bourgogne. » Il lui reste maintenant le plus difficile : gagner « parce qu’on est toutes là pour ça… avec beaucoup de fair-play bien sûr. »

 

 

Marine Mazilly a 22 ans. La jeune femme, qui habite Liernais, est titulaire d’un master consacré aux langues étrangères et au commerce international. Pas mal, mais pas suffisant pour la jeune fille qui entend défendre sa région de la meilleure des manière. ses produits aussi… Après une année dans une entreprise autunoise, Marine a donc choisi de replonger dans les études pour se spécialiser dans le domaine… du vin.

C’est aussi pour défendre sa région qu’elle a choisi de participer à l’élection de Miss Bourgogne. Une monde qu’elle ne connaissait pas du tout, mais une occasion unique à ne pas rater : « Il ne me sera pas donné deux fois la chance de revivre cette expérience. Je veux donc en profiter au maximum et ne pas manquer l’opportunité d’apprendre certaines choses. Mais je suis surtout là pour faire la promotion de ma région, pour défendre la Bourgogne. »

Marine a également gagné en confiance ces dernières semaines. « Humainement, j’ai côtoyé des jeunes filles de mon âge avec qui on a partagé pas mal de choses. Nous avons toutes notre caractère et notre façon de voir les choses, mais on a aussi pas mal de points communs et une bonne entente est née entre nous. »

 

 

La candidate de l’Yonne

 

 

 

 

 

Ornella Adeagbo (Villeneuve-la-Guyarde, Yonne)

 

 

Ornella Adeagbo a 20 ans. Elle sera samedi la seule représentante de l’Yonne. Étudiante en école d’infirmière à Melun (elle vient de passer en deuxième année), cette jeune fille, qui habite Villeneuve-la-Guyarde, s’est lancée dans l’aventure, motivée par plusieurs amies. Ce concours, elle avoue de pas y avoir pensé auparavant, même si elle se souvient encore aujourd’hui de la première fois qu’elle a vu une élection Miss France à la télévision : « C’était en 1999. Et c’est Sonia Rolland qui a été élue. Ça m’a vraiment marqué. D’abord parce que c’était une Bourguignonne. » Certainement aussi, parce que comme elle, Ornella veut aujourd’hui donner une image plus métissée à Miss Bourgogne. De là à marcher dans les pas de l’ancienne Miss ? « Sans prétention, pourquoi pas ? Mais avant ce que je veux c’est passer un message de tolérance ! »

En attendant, cette élection lui a déjà permis de gagner une certaine confiance en elle, de rencontrer beaucoup de monde aussi, des candidates très sympathiques… Et le principal : apprendre à marcher avec des talons « pas évident » pour une ceinture noire de judo plus habituée au kimono et au tatami.

 

 

 

Delphine CRESSON

 

 

 

 

 

 



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