L’association Sept et Plus présente les peintures récentes de Michel Dufour, une exposition du 7 au 27 novembre 2021, à la galerie La Vignotèque.

Après deux années d’absence sur les murs de la Vignotèque, Michel Dufour revient accrocher ses peintures les plus récentes. Il poursuit son travail, « avec une évolution lente », aime-t-il à dire, « je continue dans mon sillon, avec plus de coulures et d’éclaboussures, … »

Michel Dufour navigue entre le Clunysois et l’étang de Bage, une navigation naturelle entre ses deux foyers principaux d’inspiration, ses deux terres nourrissantes.

L’étang de Bage, dans le Languedoc est le berceau de sa créativité trois mois par an. Il emmagasine les lumières, les couleurs conjuguées aux émotions suscitées.
De ces cocktails émotionnels naissent ses peintures, ses abstractions paysagères,
pour mettre en harmonie le monde extérieur et son monde intérieur, auxquelles il donne un titre pour ne pas être dans une abstraction gratuite.

Créateur d’ambiances, il travaille en atelier. Rien n’est reproduit, pas de photographie, le choix des couleurs et les éléments recyclés par le circuit émotionnel donnent le souffle et le mouvement à ces ensembles tourmentés et pourtant d’où se dégagent une véritable sérénité.
Telles des symphonies, les toiles de Michel Dufour, nous embarquent dans des voyages et des aventures inattendues, des interrogations profondes sur l’origine du monde usant de l’alliance aléatoire entre la matière et l’esprit et la confrontation des émotions esthétiques du peintre et du regardant.

Vernissage : samedi 7 novembre à 18h 30
Exposition du 7 au 27 novembre 2021 : mercredi, samedi et dimanche de 15h 00 à 19h 00
Galerie La Vignotèque – 31b quai de Gaulle – 71300 Montceau-les-Mines

D’autre part, l’ Embarcadère proposera une exposition de plus de 100 œuvres de Michel Dufour, intitulée « Carnets de voyage », du 15 janvier au 12 mars 2022.

Grand voyageur, il a rapporté des carnets de voyages sans cesse enrichis. L’occasion de voir un ensemble de plus de cent œuvres réalisées à la gouache sur papier où le geste trouve sa justification dans la spontanéité de l’émotion.

J.L Pradines