C’est arrivé un 13 novembre…
La journée de la GENTILLESSE !
Sur Wikipédia (l’encyclopédie libre) nous n’avons trouvé que ceci :
« La journée internationale de la gentillesse, en France, est lancée en 2009 par le site psychologie.com1. Elle se déroule tous les 13 novembre. Comme son nom l’indique, cette journée permet à chacun de penser, et d’être, plus gentil avec son prochain. Elle repositionne les bases de l’altruisme et du partage. Des partenariats avec des écoles et des entreprises ont permis d’aborder des sujets comme la « bientraitance au travail ».
L’origine de cette journée est anglo-saxonne et son nom d’origine est le « World Kindness Day », promulgué par le World Kindness Movement, qui se traduit par « Mouvement mondial pour la gentillesse », un organisme international né à Singapour en 2000. »
Illustration : http://mrvinvin.wordpress.com/2011/11/09/osez-la-gentillesse-illustration/
Mais, il y a quelques jours nous avons également reçu cela :
« Jeudi 13 novembre aura lieu la sixième édition de la Journée de la Gentillesse, inspirée du World Kindness Day et lancée en France par Psychologies en 2009, avec l’immense succès public et médiatique que l’on sait.
Ses bienfaits sur la santé et le bonheur au quotidien sont prouvés et la nécessité de créer des liens dans un monde souvent brutal est une évidence.
La Journée de la gentillesse est devenue un projet global : Psychologies a élaboré une charte sur le bien-être au travail signée par des centaines d’entreprises et fait des propositions pour améliorer le vivre-ensemble avec de nombreuses écoles primaires et secondaires.
Cette année, face à l’impact – parfois déroutant – pris par les réseaux sociaux dans notre vie, Psychologies pose la question « Internet est–il gentil? » dans son numéro de novembre.
Nous avons aussi demandé aux Français si la gentillesse avait sa place en politique dans un sondage exclusif Ifop . »
Stéphanie Besson
Curieux nous sommes allés sur le site de l’IFOP et voici ce que l’on a trouvé :
« Les Français mettent en majorité en avant la gentillesse et la tolérance comme les valeurs et qualités qui contribuent le plus à les rendre heureux dans leurs rapports aux autres (respectivement 38% et 37% de citations). La simplicité (33%), la convivialité (29%) et l’humour (28%) sont également cités dans une moindre mesure. Le courage (16%), le dynamisme (12%) et la séduction (2%) apparaissent nettement en retrait. Ajoutons que ces résultats sont proches de ceux observés en août 1998, où seule la convivialité se manifeste par une progression notable dans la contribution au bonheur (+6).
L’analyse des résultats détaillés révèle quelques clivages selon les catégories de la population.
Opère un premier clivage générationnel : la gentillesse arrive en tête des citations auprès des personnes âgées de moins de 35 ans (44%) – c’est également le cas auprès des femmes (41%, contre 33% pour les hommes) – tandis que la tolérance occupe la première place auprès des personnes âgées de 35 ans et plus (42%). D’une manière générale, la gentillesse et l’humour sont davantage cités, moins l’âge est avancé ; la tolérance et le courage inversement, plus l’âge est avancé.
La conduite apparaît de manière générale comme la situation la plus propice à un défaut de gentillesse. 56% des Français déclarent en effet qu’il leur arrive de ne pas être gentils souvent ou de temps en temps lorsqu’ils sont au volant de leurs véhicules. Un tiers des personnes interrogées estime également qu’être en famille ou au travail sont des situations plus favorables au manque de gentillesse de leur part (respectivement pour 35% et 33%). Les courses au supermarché (28%), être dans la rue (27%), les transports en commun (25%, mais 32% en région parisienne), être avec ses voisins (22%) et être avec ses amis (20%) sont enfin des situations où ils peuvent souvent ou de temps en temps ne pas être gentils, mais dans une moindre mesure.
D’une manière générale se font jour, et ce quelle que soit la situation, des différences selon l’âge de la personne interrogée. Les plus jeunes se montrent en effet moins gentils et policés – ou plus honnêtes dans leurs déclarations – que leurs aînés dans l’ensemble des situations testées, notamment en voiture (63% auprès des moins de 35 ans, 53% auprès des 35 ans et plus), en famille (42% auprès des moins de 35 ans, 33% auprès des 35 ans et plus) ou dans les transports en commun (31% auprès des moins de 35 ans, 22% auprès des 35 ans et plus). La situation est enfin similaire selon le genre de l’interviewé, les hommes paraissant globalement plus impulsifs que les femmes. Les écarts demeurent toutefois minimes. »
Pour consulter le résultat complet :
http://www.ifop.com/media/poll/1670-1-study_file.pdf