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lundi 2 mars 2015 à 09:35

C’est arrivé un 2 mars.. (Voir la vidéo)

1991 : la disparition de Serge Gainsbourg !



Wikipédia (l’encyclopédie libre où, rappelons-le : nous n’avons pas d’actions du tout contrairement à ce que…!) nous rappelle que c’est jour là qu’est décédé :

 

 

 

Serge Gainsbourg 01 03 15

 

 

Photo : http://cultiz.com/2-sample-or-not-2-sample-serge-gainsbourg/

 

 

 

 

« Serge Gainsbourg, nom de scène de Lucien Ginsburg, né le 2 avril 1928 à Paris etmort le 2 mars 1991 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète, pianiste, artiste peintre, scénariste, metteur en scène, écrivain, acteur et cinéaste français.

 

 

Fils d’immigrants russes juifs, il veut être artiste peintre. Mais il accède à la notoriété en tant qu’auteur-compositeur-interprète, abordant de nombreux styles musicaux. Il s’essaiera également au cinéma et à la littérature. Il réalise plusieurs films et vidéo-clips et compose plus de quarante musiques de films.

 

 

Ses débuts sur scène sont difficiles en raison de son physique. Toute sa vie, Serge Gainsbourg souffre d’un sentiment de rejet et de l’image que lui renvoie le miroir : celle d’un homme que l’on qualifie de laid. Au fil des années, il se crée une image de poète maudit et provocateur, mais pas pour autant en marge du système (« J’ai retourné ma veste quand je me suis aperçu qu’elle était doublée de vison », déclare-t-il). Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens, et illustrent son goût pour la provocation, en particulier celle de nature polémique (Nazi Rock, Aux armes et cætera, Lemon Incest) ou érotique (Les Sucettes, Je t’aime… moi non plus, Love on the Beat). Serge Gainsbourg aime également jouer avec les références littéraires, comme Verlaine (Je suis venu te dire que je m’en vais). Cependant, il considère la chanson, et en particulier les paroles de chanson, comme un « art mineur » du fait que, contrairement à la peinture, par exemple, il ne nécessite aucune initiation pour être apprécié. Malgré cela, il travaille parfois beaucoup la forme poétique de ses textes.

 

 

Au cours de sa vie, Gainsbourg séduit chanteuses et actrices, souvent renommées pour leur beauté : de Brigitte Bardot à Jane Birkin, avec qui il a son troisième enfant Charlotte Gainsbourg. Après leur séparation, il rencontre « Bambou », Caroline Paulus de son vrai nom, qui lui donne son quatrième et dernier enfant, Lucien Gainsbourg, dit « Lulu ».

 

 

Gainsbourg a une influence considérable sur des artistes français comme le groupe Taxi Girl, Renaud ou encore Étienne Daho mais également sur des artistes internationaux tels que Beck Hansen, le groupe Portishead et le compositeur David Holmes.

 

 

Si sa notoriété à l’extérieur du monde francophone se limite aux professionnels de la musique, il réussit à classer deux de ses albums dans les meilleures ventes de disques aux États-Unis : Bonnie and Clyde (avec Brigitte Bardot) se classe 12e au Billboard 200 au cours de l’année 1968, et Jane Birkin/Serge Gainsbourg se classe 196e au cours de l’année 1970. Sa chanson Je t’aime… moi non plus se classe 58e au Billboard Hot 10010, malgré des diffusions à la radio limitées, mais rencontre un plus grand succès encore au Royaume-Uni où elle se classe numéro 1 des ventes. Avec celles de la chanteuse belge Sœur Sourire, ces performances sont inégalées pour des chansons en langue française aux États-Unis toujours très rétifs aux langues étrangères….« 

 

C’est ainsi que commence sa très longue biographie mais, pour notre prt, nous allons nous intéresser plutôt à :

 

Muses et nouvelles passions amoureuses

 

« Fin de cette même année, il vit une passion courte, mais forte avec Brigitte Bardot à qui il dédie la chanson Initials B.B. après lui avoir écrit quelques titres emblématiques : Harley Davidson, Bonnie and Clyde, Je t’aime… moi non plus. Ce dernier titre est d’abord enregistré avec elle en duo en 1967 en version symphonique. Mais il sera rendu célèbre l’année suivante par Jane Birkin. La version originale, d’abord gardée secrète par Serge Gainsbourg à la demande de Brigitte Bardot, ne sortira qu’en 1986 : elle devient alors elle aussi un tube.

 

 

Sur le tournage du film Slogan, en 1968, il rencontre Jane Birkin pour laquelle il sera à nouveau auteur-compositeur et qui va quitter son premier époux, le compositeur John Barry avec lequel elle vient d’avoir une fille quelques mois auparavant, Kate Barry. Je t’aime… moi non plus et 69 Année érotique sont d’immenses succès qui dépassent les frontières. Ils deviendront pendant dix ans un couple très médiatique, faisant régulièrement la une de l’actualité couverte par les médias, chacun enchaînant disque et tournage, concerts et apparitions photographiques. Gainsbourg dédie également le titre « Jane B » à sa nouvelle compagne, largement inspiré par le prélude en mi mineur Opus 28 no 4, de Frédéric Chopin.

 

 

Pour la petite histoire, les deux protagonistes Serge et Jane se trouvent, sans se voir, lors de la mort d’Édith Piaf, sur un lieu commun, le 10 octobre 1963 alors que tout le monde s’agglutinait pour regarder la dépouille de la chanteuse : Jane, encore adolescente, vivait dans une famille française qui habitait le même immeuble que la célèbre môme Piaf….. »

 

Lisez l’article complet en cliquant sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Gainsbourg

 

Signé : un fumeur de gitanes et de Havane !

 

 

 

 

 

Serge Gainsbourg & Jane Birkin – Je t’aime… moi non plus/Original videoclip (Fontana 1969)

 

 



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